Dans son édition du 2 décembre dernier, le quotidien El Comercio présente une synthèse de la conférence organisée à Quito par l’Institut Français d’Études Andines le 13 novembre sur le thème de l’étude d’ADN sur des restes humains archéologiques. L’événement fut marqué par l’intervention du scientifique français Bertrand Ludes, doyen de l’Université Louis Pasteur de Strasbourg (France), et directeur du laboratoire d’ADN ancien de cette institution. Ludes a fait référence aux divers obstacles qui caractérisent l’analyse de matériel génétique de restes archéologiques : manque d’échantillons, dégradation de ces derniers par l’action du temps ou d’agents chimiques...

Ludes collabore actuellement avec Tania Delabarde, anthropologue physique française qui travaille sur un site funéraire manteño.

La conférence a également abordé le sujet de la découverte surprenante d’ADN humain dans de la céramique trouvée récemment à Zamora-Chinchipe et analysée par le laboratoire de microbiologie de l’Université Catholique de Quito.

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