Suite à la rupture des négociations entre la Mairie de Cuenca et l'INPC (Institut National du Patrimoine Culturel, ndt) au sujet de la gestion du patrimoine archéologique découvert lors de travaux publics, les deux entités ont repris le dialogue.

L'on doit ce rapprochement à l'initiative de la Mairie, qui a proposé la création d'une commission formée par des membres des deux institutions, dans l'objectif d'élaborer des "compromis ponctuels" en rapport au sujet du débat. Des représentants des habitants touchés par la polémique (surgie concrètement lors de travaux réalisés entre les rues 9 de Octubre et Cristo Rey) participeront également; ces-derniers accusent en effet l'INPC de "passivité".

Il a en outre été annoncé que, en tant que patrimoine historique du pays, Cuenca créera une "Commission de Centre Historique" représentée par un anthropologue, un historien et un archéologue.